I'm a masochist.

Tout à l'heure je promenais Alto avec Félix, Stella et Véronique, quand on est passés devant une ferme où la grille était ouverte. Y'a un chien qui est venu, il est sorti et Alto a commencé à grogner et à se battre avec le chien. Moi je tirais la laisse vers le haut, ce qui fait que Alto était étranglé et en l'air mais il se battait toujours alors je l'ai porté dans mes bras pour l'éloigner mais il se débattait à fond, ce qui fait que, premièrement, je me suis bien ridiculisée à essayer de le retenir, d'autant plus que y'avait plusieurs personnes dans la rue à ce moment, et deuxièmement à force de se débattre dans mes bras il m'a fait une grosse griffe sur le ventre. C'est là que je voulais en venir en fait :P Tout ça pour dire que j'ai une grosse griffe sur le ventre et que j'en suis fière ^o^ Ben oui, je suis peut-être un peu maso mais j'aime avoir des blessures. J'aime pas être sur le coup, quand je me blesse, mais j'aime après, surtout quand c'est une grosse blessure. >:] Après quand les gens me demandent de montrer ils font "Ah oui, quand même!" et moi je suis fière :P C'est pour ça que j'ai toujours voulu avoir un bras dans le plâtre, même si je redoute le moment où je tomberai... Après, c'est drôle. Mais là c'était surtout au début que c'était mieux la griffe, elle était épaisse, mais là ça me fait juste des traits rouges. Quand je me relis, je me trouve plutôt bizarre. Sans vouloir paraître perverse ou je ne sais quoi, la phrase "j'aime avoir des blessures" a tout de même une connotation masochisto-sexuelle... x)

Bon, j'arrête là, ça vaut mieux. A plus tard!

PS: Pour le dessin, j'ai pas pu le faire à l'endroit, j'allais pas me dévisser la tête... Et désolée pour la qualité.. On fait avec les moyens du bord, hein. Et avec ses capacités. --'     

Comments

[Inès]

Moi je n'aime pas avoir mal, non, mais j'aime quand les gens disent "Ah ouais quand même !", comme ça, t'as l'air d'un aventurieeer... x))
C'était le cas pendant les vacs en Corse, quand mon dos saignait à cause des vagues fortes qui me propulsaient contre les rochers !